De  ce qui précède, nous pouvons dire que nous avons découvert un nouveau monde, monde ayant ses soucis et ses joies. Du dialogue avec Kinaka, nous avons compris que l’homme n’a pas seulement des préoccupations matérielles, mais qu’il est aussi rongé par le souci ou le désir d’aller au-delà de la nature ou de la matière. Toutefois nous sommes contraint de constater avec Marx que, pour notre cas « kinakien », l’infrastructure détermine la superstructure, que dis-je ? L’économique qui n’a pas fait naître le culturel le détermine en dernière analyse,  pour le cas « kinakien ». Mais n’est-ce pas que le sort dernier de l’art est de transcender sa détermination sociale, s’émanciper de l’univers économique ?[1]



[1] Ib.,, p. 20

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