samedi 22 février 2014
sam 22 fév 2014
HEGEL ET LES DIRIGRANTS AFRICAINS
Par Abbé Louis Mpala in Travaux inéditsaucun commentaire, aucun rétrolien
samedi 22 février 2014
sam 22 fév 2014
sam 22 fév 2014
sam 22 fév 2014
La cour pénale internationale de philosophie émet un mandat d'arrêt philosophique contre le philosophe Bernard Stevens pour avoir commis un crime contre l'humanité philosophique africaine ("Mais il y a néanmoins un point qui me pose quelque difficulté et que je me permettrai d'évoquer maintenant en finale. Il s'agit de l'affirmation selon laquelle la philosophie aurait toujours existé en Afrique, et cela donc avant l'introduction de la discipline connue sous cette appelation,notamment en Occident-qui révèle d'ailleurs toujours quelque trace d'ethnophilosophie-n'est possible par un usage hyperbolique du mot "philosophie" par rapport à son sens précis.(...).Il n'y a pas, à proprement parler de philosophie en Afrique noire,avant le contact avec l'Occident..." p.13-17), et ce depuis 1986. Tout philosophe africain qui le verrait en Afrique ( i.e. qui lirait ses écrits portant sur la philosophie africaine) est prié de signaler sa présence dans des revues philosophiques (en refutant ses thèses eurocentristes et ethnocentristes) et même sur Internet. La philosophie est un champ de battaille et il faut prendre position.
Bernard Stevens me provoque quand il semble revenir en arrière et plus en arrière par rapport à Placide TEMPELS. On dirait qu'il a des "crampes eurocentristes".
Bernard STEVENS , dans sa préface faite au livre de B. OKOLO Okonda, passe être pour un d'arrière petit fils de Hegel et des colons belges qui nient à l'Afrique la philosophie. Si le mot philosophie est d'origine grecque, l'activité philosophique est d'origine humaine. Si Merut ne Mâat signifiant amour de la vérité et de la sagesse, est d'origine égyptienne, la vérité et la sagesse font partie de la recherche humaine . Autrement dit, il est surprenant, en 21ème siècle, de voir Bernard STEVENS s'insérer dans un débat philosophique en tenant un discours qui se révèle être un SCANDAL pour l'Afrique et l'Africain et une provocation pour les anciens colonisés au nom d'une certaine philosophie dont l'idéologie proclamait tout haut que l'homme noir ou africain était prélogique. Et pourtant cette thèse a été parfois reniée par ses promoteurs.
jeudi 20 février 2014
jeu 20 fév 2014
jeu 20 fév 2014
Umuntu ngalelanda mululimi lwa cifyalilwa, alalanda no mubili wakwe, no mweo wakwe elo no mutima wakwe onse. Lelo ngalelanda mu lulimi lwa Beni, intanshi yakulanda alingile mbale ukutontonkanya elo panuma eshibe ifyakulanda.
Ngalelanda mululimi lwakwe ne shiwi lilakonka amenso, umuntwe elo na maboko. Cilaba kwati menshi yalekunkuluka ukufuma ku lupili.
Na mumapepo efyo caba. Umubemba ngalelumba Lesa wakwe mu cibemba, ala ni iso tambe.
Amalumbo yakwa Lesa yalayana no bumi bwa bantu, ne fipapwa elo na mubwile bwakwe.
Eico kanshi, twalatantika aya malumbo ukulingana no bumi bwa bantu, ne fipapwa , na mubwile bwakwe elo na mu mapinda.
Quand quelqu’un parle en sa langue maternelle, il le fait de tout son corps, de toute son âme et de tout son cœur. En revanche, s’il s’exprime en une langue étrangère, il commence d’abord par réfléchir avant de savoir ce qu’il faut dire.
S’il parle en sa langue maternelle, sa voix suit les mouvements de ses yeux, de sa tête et de ses mains. On dirait l’eau qui coule depuis la montagne.
Il en est ainsi quand il s’agit de la prière. Comme il est beau de voir le Mubemba louer Dieu en sa langue maternelle !
Les louanges à Dieu sont faites selon les circonstances de la vie, selon les exploits divins et selon le mystère lié à la nature de Dieu.
Cela étant, nous parlerons des louanges à Dieu, dans le premier moment selon la vie des gens, dans le deuxième moment selon les exploits divins, dans le troisième moment selon le mystère lié à la nature de Dieu et dans le quatrième et dernier moment selon les proverbes.