Qui plus est, ce philosophe congolais ne se limite pas à une position criticiste, mais propose comme un intellectuel d’un grand calibre une alternative, mieux une amélioration à cette démocratie torturée, il est question de la démocratie participativo-prosôponiste. Dans cette forme de gouverner, les citoyens sont appelés à faire ressortir ce qu’il y a de meilleur en eux en participant aux débats socio-politiques. A cette fin, il n’est nul doute qu’il faille éduquer le peuple et ses futurs gouvernants, car c’est par le truchement de l’éducation qu’on fait venir à la lumière ce qu’il y a de meilleur en nous. Ladite tâche contribue significativement à la conscientisation de la masse populaire. C’est à cette échelle que la parémie, la prosopopée ou le proverbe urge. La parémie ou la prosopopée se veut ici un conseil de sagesse politique et populaire attribuée aux ancêtres anonymes, fruit de leurs expériences de vie d’où l’adage : « l’expérience m’a rendu sage ». Ce sont généralement des courtes formules imagées et figurées.

« De la démocratie participativo-prosôponiste chez Louis MPALA Mbabula. Pour quelle éducation électorale sur base de la parémie ? »

Dir. Professeur Grison-Trésor KAKUMBI Belumba,

Orateur : Jean-Paul NGABU NDJALE, étudiant L2 philosophie, Modératrice : Pascaline Muswamba, étudiante L2 Langues et Affaires ; Discutant : Pierre LOKATIKALA, étudiant L2 philosophie[1].

 

 

 

I.                   De la démocratie participativo-prosôponist

Dans ce titre, issu de celui d’un livre, Louis Mpala, philosophe congolais, dans sa quête intellectuelle, s’est penché sur une manière de gouverner qui s’origine dans la Grèce Antique et qui se libéralise ou prend de l’élan aux environs de la fin du XXèS sur les ruines du communisme soviétique.  Il s’agit, en effet, de la démocratie et à proprement parler, de celle représentative. Dès son début, elle s’est constituée en unique pan ou horizon politique qui repose sur la liberté, les droits humains, la bonne gouvernance, le progrès social et la prospérité économique.

Ceci dit, comme chacun sait, la démocratie, depuis le discours historique de Lincoln à Gettysburg, est le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. A la lumière de cette définition, l’on voit bien limpidement que le peuple est placé sur le trône du souverain. Ce dernier exerce son pouvoir à travers les élections pour la formation du gouvernement chargé de gérer la chose publique et le référendum sur l’initiative de la classe dirigeante pour la caution ou désapprobation d’une mesure que l’autorité envisage de prendre. Dans ses principes, cette démocratie offre aussi un espace public de la communication politique à l’image de l’ecclesia grecque. En ce sens, aujourd’hui, nous avons les médias et bien évidemment, cet espace devrait s’élargir comme celui d’argumentation libre et populaire, car le peuple est capable d’avoir un avis constructif contrairement à ce que pensent certaines élites.

Cette question de l’espace public théorisée par  Kant, Habermas et certains communicologues est idéalement un espace intermédiaire entre la société civile et l’Etat ; où les citoyens peuvent s’exprimer en se défaisant des préjugés de supériorité ou d’infériorité avec franchise sur la gestion de la cité et ainsi, reprendre un peu de leur souveraineté, d’avoir un mot à placer pour contredire ou encourager le gouvernement sans craindre pour leur vie ou celle de leur entourage comme dans une timocratie (un gouvernement où l’on dirigerait en faisant peur) et de ce fait, changer le cours des choses grâce à l’argument le meilleur. Mais il est quasiment un consensus qu’il existait déjà dans nos sociétés africaines un espace public où la liberté des points de vue des citoyens était respectée pour une correcte gestion. Il s’agit de la palabre africaine. Dommage qu’elle soit en souffrance aujourd’hui.

Par conséquent, l’on constate que le besoin d’un espace public décloisonné ou ouvert est encore plus prégnant dans l’état actuel de nos démocraties. Car la pire crainte de Rousseau s’installe sans encombre. Tout en étant d’accord avec l’inéluctabilité des représentants, nous voudrions dire ici le fait qu’on ne peut pas s’en passer, il dit dans le Contrat social : « A l’instant qu’un peuple se donne des représentants, il n’est plus libre, il n’existe plus ».

Mais le veilleur et éveilleur la raison et la conscience Louis Mpala pense la césure ou la rupture entre les citoyens et les représentants à travers une critique des élections. En effet, les représentants à qui le peuple procure son pouvoir s’autonomisent et s’érigent en une classe particulière pour dominer, dompter et trahir son souverain. Ainsi, la démocratie devient peu à peu un pouvoir du peuple par ses représentants contre le peuple. Même la miette de pouvoir dont devrait jouir le peuple lui est retiré. Les élections sont transformées par les politiques en un banditisme électoral, presque en un coup d’Etat contre le peuple plutôt que d’être une compétition loyale.

Qui plus est, ce philosophe congolais ne se limite pas à une position criticiste, mais propose comme un intellectuel d’un grand calibre une alternative, mieux une amélioration à cette démocratie torturée, il est question de la démocratie participativo-prosôponiste. Dans cette forme de gouverner, les citoyens sont appelés à faire ressortir ce qu’il y a de meilleur en eux en participant aux débats socio-politiques. A cette fin, il n’est nul doute qu’il faille éduquer le peuple et ses futurs gouvernants, car c’est par le truchement de l’éducation qu’on fait venir à la lumière ce qu’il y a de meilleur en nous. Ladite tâche contribue significativement à la conscientisation de la masse populaire. C’est à cette échelle que la parémie, la prosopopée ou le proverbe urge. La parémie ou la prosopopée se veut ici un conseil de sagesse politique et populaire attribuée aux ancêtres anonymes, fruit de leurs expériences de vie d’où l’adage : « l’expérience m’a rendu sage ». Ce sont généralement des courtes formules imagées et figurées.

Ce proverbe utilisé est d’une grande importance sociale, il est une arme de guerre dans la palabre, un matériel didactique, un instrument de réconciliation, etc. Issus de l’expérience éprouvée par les anciens, ils sont érigés sur le principe selon lequel les événements se ressemblent et de ce fait même, on doit s’en inspirer soit pour réussir sa vie soit pour échouer. Ils sont donc un berceau des valeurs en vue d’un certain comportement à adopter dans la société.

 

II.                L’éducation électorale sur base de la parémie 

Il sied de préciser que la parémie n’a pas que la fonction ornementale du discours mais bien plutôt épistémologique pour asseoir la raison et le raisonnable dans une question donnée. Et Louis Mpala en fin gardien des valeurs ancestrales, en fait bon usage pour nous tracer le tracé de la philosophie de l’éducation électorale à même de garantir une démocratie participativo-prosoponiste à même de resituer le poids ontologique de la souveraineté du peuple et donc de son mieux-être. 

a. Pour l’éducation des électeurs, l’on peut par exemple citer comme proverbes :

- « Ce n’est pas le jour du combat qu’on aiguise sa lance » : Cela veut dire qu’il faut se préparer aux élections en s’armant intellectuellement.

- « C’est d’abord à l’intérieur de la maison qu’il fait nuit » : il s’agit d’un appel à l’autocritique, à la sortie du tribalisme qui ronge nos combats politiques, …

- « La crête du coq ne fond pas dans la soupe et même si la pluie frappe le piment, sa virulence ne diminue pas » : les électeurs doivent être comme le piment et la crête du coq en étant incorruptibles par les candidats opportunistes.

- « Si le fou enlève son caleçon, on n’enlève pas le sien pour l’imiter » ou « Si l’aile du papillon est percée, il ne s’envole pas » : C’est dire qu’il faut désavouer quelqu’un, fût-il de notre tribu, qui s’est illustré par une mauvaise gestion dans les anciennes responsabilités politiques.

- « C’est quand il y a des poules dans la case d’un malade que les féticheurs ont les yeux sur lui » : C’est un appel à la prudence, car les projets politiques sont la plupart de temps mensongers, ils visent juste être élus pour piller nos biens. Il faut donc un choix éclairé et réaliste des candidats, car c’est d’eux que dépend la survie de la nation.

 

b.      Pour l’éducation des dirigeants :

Sur ce point, le Professeur Ordinaire Abbé Louis Mpala propose, pour ne rien laisser dans l’obscurité, d’innombrables conseils de la bonne gouvernance aux leaders et futurs leaders en s’appuyant toujours sur une approche parémiologique. Dans ce sillage, voici un des proverbes : « Ukila na kipofu, usimushike mkono ». Cela veut dire que si tu manges avec un aveugle, ne lui prends pas la main. Ne l’empêche pas de puiser au plat ou ne le trompe pas. Cependant, toujours est-il que venant du peuple, les conseils susmentionnés doivent également les former et surtout, les interpeller pour ne pas transformer le souverain en victime.

     Par ailleurs, il est besoin de rappeler que la démocratie participativo-prosôponiste repose foncièrement sur la perception tempelsienne de la rencontre, cette dernière étant le lieu de la responsabilité du renforcement de l’être de l’autre. Autrement dit, une vie interpersonnelle est nécessaire pour l’accomplissement de notre être. Ainsi, cette démocratie a pour substrat la participation comprise comme une mise en valeur des idées ou des projets du peuple par le truchement du dialogue et du colloque. Bien plus, sa prosôponité réside en ce que la personne (Prosôpon en grec) y est l’élément nucléaire, mieux l’horizon indépassable et non, un moyen englué dans la chaine du néolibéralisme et dont se jouent à volonté les intérêts du marché.

Sur fond de ce qui précède, l’estimé penseur Louis Mpala, met en exergue un système global (socio-politico-économique) tissé de la base vers le sommet dont le seul but est de panser les gangrènes de la démocratie représentative en resouverainisant davantage le peuple. Ceux qui pensent que cette idée est une utopie, qu’une autre démocratie, beaucoup plus épurée, ne pourrait aucunement exister se trompent déjà lourdement. L’on sait aujourd’hui que de l’autre côté de l’Atlantique, dans une ville du Brésil, cette démocratie participativo-prosôponiste fleurit depuis des années et où tout est régulé par la participation au profit de la personne par l’entremise des dirigeants. Il s’agit du modèle ô combien attractif du Porto Alegre.

 

Pour (ne pas) conclure

En définitive, l’on doit bien avouer que la proposition participativo-prosôponiste prônée par le professeur Abbé Louis Mpala, l’actuel Recteur de l’Université de Likasi, remet dans une proportion notable la politique au cœur ou au centre du village. C’est, en résumé, un nouvel horizon à expérimenter pour les congolais en particulier et pour les africains en général dans un monde qui se dissout de plus en plus dans l’Occident capitaliste. Même si Rousseau est pessimiste en croyant que « la démocratie ne conviendrait qu’à un peuple de Dieu », il serait heureux de revoir dans une certaine mesure sa position en écoutant la sagesse qui coule de la barbe du Mwami Louis Mpala. Vivement que les électeurs et nos leaders s’en imprègnent. Pour avoir lu son livre, sur recommandation du Professeur Grison-Trésor KAKUMBI Belumba, nous vous le conseillons comme celui de chevet parce que nous avons découvert le lait et le miel pour le succès d’une politique démocratique adaptée.  

 

QUELQUES QUESTIONS POSEES A LA SUITE DE LA PRESENTATION DE LA REFLEXION MPALAIENNE SUR LA DEMOCRATIE

 

1.      Dorcas MULAMBA, étudiante L2 Langues et Affaires (FLSH /UNIKIS)

Dans sa réaction, elle opine qu’il est difficile de mettre en œuvre le système participativo-prosôponiste. Cela, d’autant plus que le peuple vit dans une misère noire. Tout ce à quoi il pense, c’est comment nouer les deux bouts de la journée. En proie à cette précarité relative au besoin primaire, le peuple devient de plus en plus crédule, domptable voire naïf en telle enseigne qu’il est conduit par l’instinct de survie à se plier à toutes les démagogies, à tronquer sa voix contre quelques tubercules de manioc ou des mesurettes de haricots, ... Du reste, cette sinistre situation dépeinte se retrouve tissée dans un nœud inextricable d’autres problèmes, en l’occurrence l’inflation toujours galopante, la guerre quotidienne avec ses corollaires, … D’où, sa préoccupation : Comment peut-on éduquer un peuple affamé dans un climat compliqué à la responsabilité élective ?

 

2. Jean-Pierre NGILIMA, étudiant L2 Philosophie (FLSH /UNIKIS)

Tout en connaissant la situation quasi-chaotique de notre pays issue des causes à géométrie variable, il constate sans ambages que le tribalisme dans le chef du peuple, pour ne citer que celui-ci, et l’abus du mandat par les élus placent l’espace politique congolais dans une situation inconfortable, mieux dans une impasse. Ainsi, cet étudiant en Philosophie voudrait dans un premier temps savoir : Est-ce que l’application du système participativo-prosôponiste pour la gestion de la chose publique peut déboucher sur une quelconque utilité ou changer la donne ? Et dans un second temps : Ce système se suffit-il pour constituer une thérapie afin de panser la démocratie représentative ?

 

3. Emmanuel SHAKO de L2 Philosophie (FLSH /UNIKIS)

Il se déclare impressionné par l’approche assez originale du vaillant Professeur Ordinaire Abbé Louis MPALA pour éluder les vices liés au « fait démocratique »  dans ce pays, la RDC.  Il se demande cependant : Pendant l’interstice de temps séparant l’éducation du peuple de l’effectivité de son usage (celui de l’éducation par approche parémiologique), que fera-t-on ? Continuera-t-on dans le statu quo ? Qui plus est, il argue qu’a priori, peu importe la participation populaire à la gestion de la chose publique, la ségrégation ou l’institution des classes sera inéluctable. Un groupe finira par prendre le dessus et l’autre sera ostracisé ou inaudible dans l’espace public. D’où, de peur de tomber dans un cercle vicieux, quelle perspective peut-on envisager pour réconcilier les classes ?

Il ne se limite pas à ces inquiétudes coulées en question, mais il propose également une mesure palliative aux écueils de la démocratie représentative. Il ne va pas par le dos de la cuillère en suggérant l’installation d’une dictature avec à la tête un homme bon (fût-il prétendument) ayant un pouvoir absolu. Est-ce le Roi philosophe ou le philosophe roi de Platon ou le Léviathan de Thomas Hobbes  se demande le philosophe de l’éducation Grison-Trésor Kakumbi avec d’humour ?

 

4. Justin VUSANGA, étudiant L2 Langues et littérature africaines (FLSH /UNIKIS)

Pour celui-ci, il y a lieu d’énoncer que l’inadaptabilité du système démocratique à l’Afrique peut être due à la non-inculturation de la démocratie telle qu’imposée par l’Occident. Ainsi, ne peut-on pas penser à un mixage harmonieux de la démocratie représentative avec la monarchie à l’africaine ?

 

5. Assistant Alphonse TSHONGOKEA (Philosophe)

Il émet un doute quant à l’efficacité d’une participation populaire à grande échelle aux décisions politiques. Pour conforter sa position, il s’adosse à Platon pour mettre en relief les aspérités liées à ce genre de projet pour la gestion de la chose publique. Par ailleurs, il constate comme le professeur Louis Mpala que l’élection a perdu beaucoup de sa valeur si bien que le peuple souverain ne se reconnait pas très souvent dans les décisions politiques. Par conséquent, désemparé, le peuple se rend régulièrement compte que ses élites ne sont pas à la hauteur de la mission leur assignée. En ce sens, pour ce brillant Assistant de l’Université de Kisangani, la démocratie plébiscitée comme étant la forme de gouvernement la moins mauvaise accuse des limites qui rendent d’aucuns dubitatifs sur la véracité de cette affirmation. Ceci dit, pourrait-on, souligne-t-il, trouver une forme de gouvernement réellement meilleure au monde ?

Cette question lui sert de tremplin pour en poser une autre qui, subtilement, constitue une proposition. Comme l’étudiant Emmanuel cité en sus, il se demande s’il ne serait pas préférable d’installer un bon dictateur au sommet de l’Etat. En revanche, contrairement à l’étudiant, il explique que son pouvoir devra être encadré, comme ce fût autrefois le cas dans nos sociétés traditionnelles, par des conseillers investis de certaines prérogatives pour éviter des abus.

 

6. Jean-Paul NGABU, étudiant L2 Philosophie (FLSH /UNIKIS)

Il exprime toute son admiration à l’égard de l’éminent Professeur Ordinaire Abbé Louis  MPALA pour son autopsie de la démocratie représentative et les propositions pour en parer les excès. Cependant, en rapport avec la démocratie participativo-prosôponiste qui met la personne au centre et la fait participer à la gestion de la chose publique, l’étudiant se demande si l’Etat congolais n’est pas assez grand pour initier un régime de cet acabit. Cela, il le stipule au regard de la petitesse géographique de Porto Alegre où ce système fait flores aujourd’hui. En même temps, vu l’autonomie que cette démocratie accorde aux structures décentralisées, il suggère qu’on y réfléchisse par absurde : Prétextons que ce type de démocratie soit appliqué en RDC ; dès lors, le risque de sécession ou de la balkanisation n’augmente-t-il pas considérablement, surtout dans ce pays où le sentiment d’appartenance à une région prime très souvent sur le patriotisme national ?

 

Au regard de ce qui précède, les étudiants et assistants du Professeur Grison-Trésor KAKUMBI de l’Université de Kisangani attendent les réponses du Professeur Ordinaire Abbé Louis MPALA Mbabula à leurs préoccupations susmentionnées soit par un texte ou mieux par audio où il est invité au jour et à l’heure de sa disponibilité.

 

Travail réalisé dans le cadre du cours d’Informatique V appliquée à la recherche scientifique sur Internet du Professeur Grison-Trésor KAKUMBI Belumba pour tous les huit Départements de la Faculté des lettres et Sciences Humaines de l’Université de Kisangani. Les étudiants ont fait la pratique de recherches scientifiques sur internet dans le site Internet du Professeur Ordinaire Louis MPALA Mbabula ; l’un d’eux a présenté le fruit de ses recherches dans les travaux de Louis Mpala. La conférence a eu lieu dans le groupe whatsapp du cours dont ceci constitue le résumé des discussions y afférentes.

Fait à Kisangani, le 15 juin 2022

Sous la Direction du Professeur Grison-Trésor KAKUMBI Belumba

Spécialiste en philosophie de l’éducation, philosophie du droit et d’Informatique appliquée à la recherche scientifique

 



[1] Travail réalisé dans le cadre du cours d’Informatique V appliquée à la recherche scientifique sur Internet du Professeur Grison-Trésor KAKUMBI Belumba pour tous les huit Départements de la Faculté des lettres et Sciences Humaines de l’Université de Kisangani. Les étudiants ont fait la pratique de recherches scientifiques sur internet dans le site Internet du Professeur Ordinaire Louis MPALA Mbabula de l’Université de Lubumbashi; l’un d’eux a présenté le fruit de ses recherches dans les travaux de Louis Mpala dans une conférence en ligne sur whatsapp ténue le lundi 6 juin 2022 entre 19h-21h00 dont ceci constitue le résumé des discussions y afférentes.