Consacrer une étude sur un thème aussi complexe et pertinent que celui de la Transfiguration du politique à l’ère de la

Postmodernité ne relève pas d’un fait fortuit ou hasardeux. Notre option est ratifiée par une certaine motivation étant donné que les acquis de l’être-ensemble social qui nous porte et la réalité de l’organisation sociopolitique, telle que prônée par les anciens penseurs et philosophes grecs, ne cesse de s’altérer. S’ajoute, à cet état des choses, l’essor de la post modernité qui, du reste, revêt un caractère mutant dans la mesure où la gestion de la « res publica » devient de plus en plus affaire des quelques uns. On le voit, cette annotation nous met en droit de stigmatiser que ce sujet nous intéresse à plus d’un point de vue. Assouvir notre curiosité intellectuelle et nous former à la redynamisation de l’esprit scientifique, cela est un fait évident. Car nous voulons, après une longue période d’initiation à l’activité philosophique, nous rendre utile en portant une pierre pour l’édification du monde du savoir et du penser.

                  

         En milieu universitaire, en l’occurrence à la Faculté des Lettres et Sciences humaines, Département de Philosophie, quelques travaux et échanges de certains professeurs nous ont donné le goût pour Michel Maffesoli. Nous pensons ici à la pertinente thèse du Professeur A. Louis Mpala[1] pour ne citer que lui.


[1] MPALA MBABULA, Matérialisme historique, Altermondialisation et Utopies postmodernes. Contribution à la philosophie de l’histoire (Thèse de Doctorat en Philosophie), Université de Lubumbashi, le 01 juillet 2006.

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