jeudi 20 février 2014
jeu 20 fév 2014
L'Autorité en philosophie et en théologie
Par Abbé Louis Mpala in Conférencesaucun commentaire, aucun rétrolien
jeudi 20 février 2014
jeu 20 fév 2014
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Umuntu ngalelanda mululimi lwa cifyalilwa, alalanda no mubili wakwe, no mweo wakwe elo no mutima wakwe onse. Lelo ngalelanda mu lulimi lwa Beni, intanshi yakulanda alingile mbale ukutontonkanya elo panuma eshibe ifyakulanda.
Ngalelanda mululimi lwakwe ne shiwi lilakonka amenso, umuntwe elo na maboko. Cilaba kwati menshi yalekunkuluka ukufuma ku lupili.
Na mumapepo efyo caba. Umubemba ngalelumba Lesa wakwe mu cibemba, ala ni iso tambe.
Amalumbo yakwa Lesa yalayana no bumi bwa bantu, ne fipapwa elo na mubwile bwakwe.
Eico kanshi, twalatantika aya malumbo ukulingana no bumi bwa bantu, ne fipapwa , na mubwile bwakwe elo na mu mapinda.
Quand quelqu’un parle en sa langue maternelle, il le fait de tout son corps, de toute son âme et de tout son cœur. En revanche, s’il s’exprime en une langue étrangère, il commence d’abord par réfléchir avant de savoir ce qu’il faut dire.
S’il parle en sa langue maternelle, sa voix suit les mouvements de ses yeux, de sa tête et de ses mains. On dirait l’eau qui coule depuis la montagne.
Il en est ainsi quand il s’agit de la prière. Comme il est beau de voir le Mubemba louer Dieu en sa langue maternelle !
Les louanges à Dieu sont faites selon les circonstances de la vie, selon les exploits divins et selon le mystère lié à la nature de Dieu.
Cela étant, nous parlerons des louanges à Dieu, dans le premier moment selon la vie des gens, dans le deuxième moment selon les exploits divins, dans le troisième moment selon le mystère lié à la nature de Dieu et dans le quatrième et dernier moment selon les proverbes.